Comment être moins sympathique?

Nous sommes de plus en plus sympathique... Disons que ce n'est pas une bonne nouvelle.

Attention je dis sympathique dans le genre, système nerveux sympathique (SNS)

Comment arriver à ralentir?

Avec la rapidité de notre mode de vie actuel, nous sommes de plus en plus porter à stimuler notre système sympathique de plusieurs façons dans notre quotidien et à rouler à fond la caisse sur le sympathique. 

Le SNS est décris comme l'accélérateur de notre auto. Il permet à notre corps de se préparer à l'action lors d'une activité physique ou intellectuelle. Le SNS s'active face à un stresseur physique, psychologique ou émotionnel et physiologique. Il ne fait aucune différence entre les 3, soit entre le réel et notre pensée. anciennement, il nous permettait de se défendre contre la menace soit entre-autres les mammouths. 

Le SNS fait son travail peut importe la menace et augmente notre rythme cardiaque et notre pression artérielle. Il accélère notre fréquence respiratoire et augmente le taux de glycémie et libère les hormones du stress soit la noradrénaline et l'adrénaline. 

N'ayant plus de mammouth dans les environ... Pensez au stress d'être pris dans le trafic, ne ne pouvons ni avancer, ni reculer. Nous sommes pris dans l'impuissance, dans un stress émotionnel non libéré. Ce qui peut sembler banal au départ, mais peut avoir plus d’impact face à son accumulation sur le long terme. 

On peut penser aux situations stressantes au travail, avec la souffrances vécues de nos clients, nous mettant parfois dans une position d'impuissance face à notre rôle de sauveur. 

La pression ressenti au travail, de votre patron qui vous en demande toujours plus, et faire avec moins. Il vous fait part de son mécontentement, et de votre côté vous garder votre stress à l'intérieur sans pouvoir vous exprimer franchement. Le stress psychologique non libéré. J'aurais même envie d'ajouter que pour ceux qui diront: oui mais j'en parle avec mes collègues et on ruminent ensemble... Ce n'est pas toujours un avantage, mais plutôt, vous permettez à votre corps de revivre le stress et ses émotions du moment encore une autre fois. Comme la rumination dans votre tête.

Le stress qui n'est pas libérer dans le corps par la forme d'action, soit le combat ou la fuite, reste en nous comme une auto qui spinne sur la neige; Elle n'avance pas et ne recule pas. Le stress reste coincé.

À cette vitesse de surplace, on use alors la machine! 

Avec cette hyperactivité grandissante du système nerveux sympathique, les gens ressentent davantage de malaises physiques du stress comme des maux de tête, des brûlements d'estomac, une boule dans le ventre ou dans la gorge, des raideurs ou tensions musculaires, des palpitations, de l'anxiété, des problèmes de peau et de l'insomnie. La population consulte de plus en plus aux urgences pour ses symptômes et les premiers réponds sont appeler en urgence sur des symptômes d'anxiété qui sont de plus en plus présents. 

Contrairement au stress psychologique, le stress physique c'est que lorsque le corps active le SNS le corps se met en action, en marche.Il avance et libère au fur et à mesure l'énergie produit par le SNS. 

Mais comment ralentir?

Notre système nerveux est aussi composé du système nerveux parasympathique (SNP). Son contraire! Celui qui permet au corps de ralentir et de se calmer, soit le frein de notre auto.

On ne peut pas toujours rouler en 5e vitesse tout le temps sans s’épuiser!

Il est nécessaire au corps, comme après l'activité physique, d’enclencher le système parasympathique. Cela permet au corps de diminuer la fréquence cardiaque et la pression artérielle, diminuer la fréquence respiratoire, de ralentir le corps afin qu'il revienne à la normal. Il sécrète aussi la dopamine. L'hormone du bonheur. 

Lorsqu'on pratique une activité physique modéré couramment, on parle d'environ 150 min/semaine, notre corps permet d'activé le système sympathique mais aussi le parasympathique.